samedi 7 janvier 2012

Fête de la Théophanie

Ces jours-ci se célèbre dans l’Orthodoxie la fête de la Théophanie. Pour certains, elle a déjà été célébrée, le 6 janvier. Pour d’autres, la célébration est reportée à demain, dimanche. D’autres enfin la célèbrent en même temps que Noël le 7 janvier, c’est-à-dire aujourd’hui – ce qui est conforme aux usages antiques qui confondaient les deux fêtes. Mais pour tous, c’est « la fête du Seigneur ».

Et pas seulement. C’est la fête du baptême du Christ dans le Jourdain, mais c’est aussi la fête du baptême de la création, car la sainteté du Fils de Dieu plongée dans l’eau souillée par la chute lui restitue sa pureté originelle ; c’est pourquoi l’Eglise chante que « le Jourdain retourna vers sa source ». c’est enfin la fête de la première manifestation visible de la Divine Trinité (d’où le nom de Théophanie), le Près et le Saint-Esprit désignant visiblement en Jésus le Fils de Dieu : lire Marc 1, 9-11.

En cette occasion les prêtres bénissent les eaux (y compris quand c’est possible celles des fleuves) et aspergent de ces eaux bénites les églises et les fidèles, lesquels en boivent et en emportent dans leurs demeures.

Voici la collecte de la fête :

Seigneur saint, Père tout-puissant et éternel, Tu nous révèles aujourd'hui que le Christ né de la Vierge et adoré des mages est ton Fils bien-aimé, Créateur du monde. Il Se fait baptiser par son serviteur Jean, afin d'accomplir toute justice. Lui, sans péché, Il sanctifie les eaux du Jourdain en leur communiquant la vertu divine de régénération ; ainsi, avant de sauver l'homme par la croix, Il sauve la création par son baptême, manifestant au monde le mystère de la Triple Unité : en effet, ta voix clame sur les eaux, reconnaissant ton Fils, et ton Esprit qui planait à l'origine sur les eaux de l'abîme témoigne, sous forme de colombe, la divinité du Christ et annonce par sa manifestation la restauration de la nature.
Père clément, nous T'en supplions, inonde ton Eglise des eaux de la grâce sanctifiante, lavant nos péchés et éclairant notre esprit par l'éclat de ta Théophanie, ô Toi qui vis, règnes et triomphes avec ton Fils et l'Esprit-Saint aux siècles des siècles.
Ts. Amen.



Sainte Jeanne d'Arc




« Proposant plus de 300 entrées d'une grande diversité, l'auteur s'attache à examiner le "mystère de la vocation" et à relater le bref temps de la gloire, d'Orléans à Reims, suivi par les échecs, l'incompréhension, la prison, le procès et la mort par le feu. » (L’éditeur).


Par un des grands maîtres de l’histoire du Moyen-Age finissant (la guerre de Cent-Ans, mais pas seulement).


En ce sixième centenaire de la naissance de Jeanne d’Arc , patronne de la France, à recommander (et commander !) sans restriction !

vendredi 6 janvier 2012

La foi, pour un nouveau cardinal

Ces propos vraiment spirituels de la part d'un des nouveaux cardinaux annoncés le six janvier par le pape de Rome Benoît XVI et qui seront "créés" le 18 février :



MGR FERNANDO FILONI,
PRÉFET DE LA CONGRÉGATION POUR L’ÉVANGÉLISATION DES PEUPLES

Lors de la rentrée de l’université pontificale Urbaniana, dont il est le grand chancelier, Mgr Filoni  a donné sa conception de la foi :

« Le Royaume de Dieu est à l’intérieur de moi quand je descends dans les endroits non évangélisés de moi-même, dans le moi profond où s’agitent les passions et les angoisses, et lui donne direction, sens et harmonie ; quand je fais taire mes duretés et indifférences, et laisse lever la douceur ; quand j’oppose à la logique de la violence l’utopie de la douceur ; quand je rejoins dans les méandres de l’histoire, les pauvres et les marginaux, et que j’essaie de vivre la solidarité. »

Prier sans cesse, par saint Théophane le Reclus

(Suite et fin du précédent message.

 

Il reste le troisième point de la définition de saint Théophane : rendre grâce c’est se tenir devant Dieu sans cesse jour et nuit jusqu’à la fin de la vie. Priez sans cesse, insiste saint Paul (1 Th 5, 17). La prière et l’action de grâce ne devraient pas être seulement une activité parmi d’autres, mais l’activité de toute notre existence. Tout ce que nous faisons se fait sous le regard de Dieu : se tenir devant Dieu ne devrait pas être une attitude limitée à des moments et des lieux spécifiques, à des occasions où nous " disons nos prières " à la maison ou quand nous " allons à l’église ", mais devrait être une attitude globale, étreignant tout et à tout moment. Nous devrions chercher à faire de tout notre être un acte continuel d’action de grâce, une doxologie ininterrompue.

Rien ne devrait être écarté parce qu’irrémédiablement séculier, parce qu’incapable d’être transformé en action de grâce. Un chrétien, comme l’observe très justement père Alexandre Schmemann, est celui qui, où qu’il regarde, trouve le Christ et se réjouit en lui. Dans les mots d’une ancienne " Parole de Jésus ", il est dit :
Fendez le bois, je suis là.
Soulevez la pierre,
vous me trouverez là.

La prière et l’action de grâce continuent alors " sans cesse jour et nuit " dans le sens qu’elles font partie de notre être ; elles ne sont plus quelque chose que nous faisons, disons ou pensons, mais quelque chose que nous sommes. Souvenez-vous de Dieu plus souvent que vous respirez, dit saint Grégoire de Naziance. La prière nous est plus essentielle, est une part plus intégrante de nous-mêmes que le rythme de notre respiration ou le battement de notre cœur. Nous avons été créés pour prier. La prière est notre véritable nature, et tout peut être changé en prière. Dans cette immense cathédrale qu’est l’univers de Dieu, écrit Paul Evdokimov, chaque personne, qu’elle soit travailleur intellectuel ou manuel, est appelée à agir en tant que prêtre de sa vie tout entière, à prendre tout ce qui est humain et à le retourner en une offrande et un hymne de gloire. Et ailleurs, le même auteur remarque : Dans les catacombes, le dessin le plus fréquent est celui d’une femme en prière, l’Orante ; elle représente la seule attitude juste de l’âme humaine. Il n ‘est pas suffisant de dire des prières : nous devons devenir, être, prière, prière incarnée. Il n’est pas suffisant d’avoir des moments de prière. Toute notre vie, chaque acte, chaque geste, même le sourire d’un visage humain, doit devenir un hymne d’adoration, une offrande, une prière. Nous devons offrir non pas ce que nous avons mais ce que nous sommes.


Mais... sur la prière, on pourrait citer des tonnes de documents. Mais ce qui seul importe, c'est l'expérience, la pratique - en toute conscience ! Le christianisme inconscient, cela n'existe pas !

jeudi 5 janvier 2012

La prière, selon saint Théophane le Reclus

J'ai trouvé dans la revue "Le Chemin" (n° 54, 2002) publiée par la communauté Saint Thiébault à Gorze (Moselle)  [ www.centre-bethanie.org/] une conférence remarquable de l'évêque Kallistos (Timothy) Ware intitulée "Symbolique et beauté dans la prière". Elle est trop longue pour être reproduite ici intégralement, ce qui est bien dommage, mais j'en ai extrait quelques passages parmi les plus significatifs.

Comme je suppose que le nom de saint Théophane le Reclus est ignoré de bon nombre de mes lecteurs (même orthodoxes, hélas !), quelques mots sur ce grand spirituel :

Saint Théophane le Reclus est surtout connu pour ses ouvrages de vie spirituelle. Il naquit le 10 janvier 1815 dans le village de Chernavsk, d'un père prêtre; Après avoir étudié dans les séminaires de plusieurs grandes villes, dont Kiev, il fut tonsuré moine le 15 février 1841, puis ordonné diacre et enfin prêtre la même année.

Il partit par la suite en Palestine où il devint prêtre dans la mission russe. Il y passa sept ans et acquit à cette occasion une parfaite connaissance du grec. Il fut ensuite pendant quelque temps aumônier de l'église de l'ambassade russe à Constantinople. De retour en Russie, il devint recteur de l'Académie théologique de Saint-Petersbourg. Enfin, le 1er juin 1859, il fut consacré évêque de Tambov (à l'ouest de la Russie), avant d'être transféré à Vladimir (l'ancienne capitale de la Russie duXIIe au XIVe siècle) en 1863. En 1866, l’évêque Théophane demanda à être relevé de la charge de son diocèse pour se retirer dans la prière et la solitude,ce qui lui fut accordé.

Il se retira alors dans un monastère le Vychenskaïa Poustygne. Il y passe ses journées dans une retraite profonde, ce qui lui valut le surnom de "reclus". C'est également au cours de sa vie d'ermite qu'il écrivit ses nombreux livres spirituels. Il avait dans sa cellule une grande bibliothèque avec des livres en slavon et russe, mais aussi en anglais,français, grec, allemand. Il a joué un rôle important dans la traduction de la Philocalie en russe.

Durant les onze dernières années de sa vie, il célébra la messe tous les jours dans sa petite chapelle, tout seul, en silence, concélébrant avec les anges. [P. Smimov. Vie et Doctrine de Sa Grandeur Mgr. Théophane (en russe). Moscou, 1905, p. 123]


La fin de sa vie fut marquée par la maladie. Il souffrait de rhumatismes, de névralgies, d'arythmies cardiaques et il devint aveugle de l'œil droit en 1888.

Il naquit au ciel le 6 janvier 1894 vers quatre heures de l'après-midi. Il a été canonisé en 1988 par l'Église russe et il est fêté le 6 et le 10 janvier


L’ouvrage de l’évêque Théophane le plus remarquable en matière de spiritualité est probablment son livre : "Qu’est-ce que la vie spirituelle et comment s’y disposer ?" [Moscou, 5e éd. 1904] C’est un recueil de lettres de direction spirituelle adressées à une pieuse personne désireuse d’atteindre la perfection.

Le site http://orthodoxologie.blogspot.com/ publie chaque jour un commentaire quotidien de l'Ecriture par saint Théophane le Reclus.

Et maintenant, place aux extraits de l'étude de l'évêque Kallistos.


La chose principale, dit saint Théophane le Reclus, est de se tenir devant Dieu avec l’esprit dans le cœur et de continuer à se tenir devant Lui, sans cesse, jour et nuit, jusqu’à la fin de la vie. (Cité dans Higoumène Chariton, L’Art de la prière, Bellefontaine, 1976, p. 81.)


Dans cette définition concise mais profonde, saint Théophane souligne trois choses :

– premièrement, la base de la louange qui est de se tenir devant Dieu ;

– deuxièmement, les facultés qu’emploie la personne qui rend grâce : avec l’esprit dans le cœur ;

– troisièmement, le moment approprié pour la louange : sans cesse jour et nuit, jusqu’à la fin de la vie.

[...] Lorsqu’il prie, le fidèle ressent à la fois la miséricorde et le jugement de Dieu, à la fois sa bonté et sa sévérité. [...] Comme saint Macaire insiste dans ses Homélies : Ceux qui ont goûté le don de l’Esprit sont conscients de deux choses à la fois : d’un côté, la joie et la consolation ; et de l’autre, la crainte, le tremblement et la tristesse. Ces deux sentiments simultanés devraient caractériser notre prière si nous voulons nous tenir de manière juste dans la Divine présence.

[...]  Parler comme le fait saint Théophane de se tenir devant Dieu avec l’esprit dans le cœur, signifie que nous devons L’adorer avec la totalité de notre personne humaine. Les facultés rationnelles ne sont pas du tout rejetées, parce que nous sommes des créatures rationnelles – ce que saint Clément d’Alexandrie nomme "un troupeau raisonnable" – et à cause de cela notre prière devrait être logika latreia, prière raisonnable (Rm 12, 1). De même, nous ne devons pas exclure nos émotions et nos affects de notre prière, parce qu’eux aussi font partie de notre personnalité. Nos prières devraient être animées d’éros, désir intense et fervent pour le Divin, afin que notre prière devienne véritablement une expression d’extase érotique, pour employer une phrase de saint Maxime le Confesseur. Mais, logos et éros, raison, émotions et affects doivent être combinés avec les autres pôles de notre personne, et ils doivent tous être intégrés en une unité vivante, au niveau de notre être profond, de notre cœur.

[...] Dans cet acte total d’adoration, alors, nous devons nous tenir devant Dieu avec notre personne tout entière : certainement avec l’esprit conscient, mais aussi avec les aspects de notre être intérieur qui vont jusqu’à l’inconscient ; avec nos sentiments instinctifs, avec notre sens esthétique et également avec cette faculté de compréhension intuitive et de conscience spirituelle directe qui, comme nous l’avons dit, surpasse de loin la raison discursive. Tout cela doit jouer son rôle dans notre prière ; et notre constitution physique et matérielle aussi, c’est-à-dire notre corps. La chair aussi est transformée, écrit saint Grégaire Palamas ; elle est exaltée avec l’âme et communie avec elle au Divin, et devient de même la possession et le lieu d’habitation de Dieu.


[...] Pour un chrétien orthodoxe, il est de la plus haute importance que l’acte de rendre grâce exprime la joie et la beauté du Royaume des Cieux. Sans cette dimension de beauté, notre action de grâce ne réussira jamais à être une prière dans le plein sens du terme, prière du cœur tout autant que prière du rationnel. Cette joie et cette beauté du Royaume ne peuvent pas être convenablement exposées par des arguments abstraits et des explications logiques ; cela doit être expérimenté et non discuté. Et c’est par-dessus tout par des actions symboliques et rituelles – en brûlant de l’encens, en allumant un lampion ou un cierge devant une icône – que cette expérience vivante est rendue possible. Ces gestes simples expriment, bien mieux que n’importe quel mot, notre attitude envers Dieu, notre amour et notre adoration ; sans de telles actions notre action de grâce serait tristement appauvrie.

(à suivre)







lundi 2 janvier 2012

Une correspondance de JB Willermoz

La lecture de Renaissance Traditionnelle est toujours pleine d'intérêt. Celle du dernier numéro paru (n° 163-164, juillet-octobre 2011) est particulièrement passionnante pour les maçons rectifiés.

Dominique Sappia et son équipe des Amis provençaux de Renaissance Traditionnelle ont identifié et retranscrit ce qui survit de l'abondante correspondance échangée entre Willermoz et Achard entre 1786 et 1819 (36 et 34 de part et d'autre). Le frère Achard est bien connu de l'historiographie maçonnique consacrée au Régime rectifié : c'est en sa faveur et celle de sa loge La Triple Union que JB Willermoz compléta et acheva en 1809 l'écriture du rituel de maître écossais de Saint-André. Ce personnage a été présenté dans le n° 156 (octobre 2009) de Renaisance Traditionnelle.

Au cours de cette correspondance très étendue dans le temps (33 ans, moins une interruption de 13 ans due à la Révolution française), nous voyons le "patriarche du Rectifié" prodiguer conseils, d'ordre spirituel et administratif, et parfois réprimandes, au Vénérable d'une loge en proie à des difficultés dont les loges d'aujourd'hui ne sont pas toujours exemptes : nous sommes en pays de connaissance. On y trouve en particulier des notations précises et précieuses sur ce que doit être l'esprit du Rectifié comparativement à celui des autres formes maçonniques. Tout serait à citer - et je renvoie à l'article qui procure d'abondants extraits de cet échange de correspondances. J'en extraits seulement ce membre de phrase :

"Rappelez-leur que le travail journalier du maçon est de travailler jusqu'à son dernier soupir à polir la pierre brute, en consultant souvent son miroir, et reconnaître où il en est de son travail, que leur avancement dans les connaissances maçonniques qu'ils ne trouveront pas ailleurs, dépendront toujours des progrès qu'ils feront sur eux-même à le faire, et qu'il n'aide qu'à ceux qui agissent."

Et le suivant :

"[le régime écossias rectifié] est le seul régime maçonnique, quoi qu'on puisse dire ailleurs, qui ait conservé le but primitif de l'institution..."

Cependant le trésor de ce numéro est une lettre totalement inédite de JB Willermoz intitulée Article secret annexé à ma lettre du 1er septembre 1807. (Willermoz avait donc 77 ans). Cet "article secret" (qui précède de peu la grande lettre de 1810 à Charles de Hesse qui a été qualifiée de "lettre testament"), adressé au frère Achard, présente une analyse complète, à ma connaissance plus complète que  partout ailleurs, de la Grande Profession. Elle vaut d'être lue et méditée intégralement. 

Ce qui y est partculièrement intéressant, c'est que Willermoz en détaille le mode d'emploi. Il distingue, par rapport à la Grande Profession, quatre catégories de chevaliers :

"De plus cette initiation ne peut pas convenir également à tous les chevaliers, quoique tous y aient un droit égal si les dispositions naturelles de chacun sont égales.
Elle est inutile er très inutile à un grand nombre.
Elle a des dangers pour quelques-uns.
Elle est utile à beaucoup ;
et pour quelques-uns elle est nécessaire et très nécessaire."

Willermoz détaille ensuite avec beaucoup de finesse ces quatre catégories. Il y touche en particulier les rapports de l'Ordre avec la foi chrétienne de ses membres d'une manière qui peut être encore très utile de nos jours.

(Petit point anecdotique au passage : Willermoz, au cours de cette corespondance, parle à plusieurs reprises des "hauts grades" de l'Ordre... ce qui renverse quelques idées reçues au sujet de cette terminologie...)

Conclusion : maçons rectifiés, sutout des "hauts grades", lisez sans retard ce numéro (qui contient d'autres richesses, mais je me suis limité à Willermoz).

dimanche 1 janvier 2012

Le saint Nom de Jésus

Yéchoua (le nom hébreu de Jésus) vient de la racine hébraïque de la racine : " Yacha" qui signifie : droiture, justice, probité, intégrité.Yéchoua signifie: secours, délivrance, salut, triomphe, aide, sauvetage, assistance, affranchissement, victoire, bonheur, félicité... et tout cela vient de "" ou de "Ya" donc de IHWH, le Seigneur Tout Puissant !

Un nom hébreu représente la nature de la personne qui le porte. Donc Jésus est venu nous sauver toi et moi, c'est-à-dire il est venu nous secourir, délivrer, sauver, faire triompher, aider, assister, affranchir, donner la victoire, donner le bonheur et la félicité.

Jésus dit dans Jean 10:10 :"... je suis venu afin que les brebis aient la vie, et qu'elles l'aient en abondance".

"L'Esprit du Seigneur est sur moi, parce qu'il m'a oint pour annoncer une bonne nouvelle aux pauvres... pour guérir ceux qui ont le coeur brisé... pour proclamer aux captifs la délivrance, et aux aveugles le recouvrement de la vue, pour renvoyer libres les opprimés..." (Luc 4:18,19), (Isaïe 61:1).

"Le Fils de Dieu a paru afin de détruire les oeuvres du diable. "(1 Jean 3:8).

"Je suis venu comme une lumière dans le monde, afin que quiconque croit en moi ne demeure pas dans les ténèbres." (Jean 12: 46).

"Si quelqu'un entend mes paroles et ne les garde point, ce n'est pas moi qui le juge; car je suis venu non pour juger le monde, mais pour sauver le monde."(Jean 12: 46)

"Et moi, quand j'aurai été élevé de la terre, j'attirerai tous les hommes à moi."(Jean 12:32)

"Moi et le Père nous sommes un.” (Jean 10:30)

“Celui qui m'a vu a vu le Père” (Jean 14:9)

“Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi.”(Jean 14:6).


LES NOMS DE JESUS

Consolateur (1 Jean 2:1)

Admirable (Is.9:6)

Père du siècle à venir (Is.9:6)

Emmanuel (Dieu avec nous) (Is.7:14)

Tout-Puissant (Apocalypse. 1:8; Mat. 28:18)

Alpha et Omega (Apocalypse 1:8; 22:13)

Amen (Apocalypse 3:14)

Apôtre de notre Profession (Heb. 3:1)

Victime expiatoire pour nos péchés (1 Jean 2:2)

Auteur de Vie (Actes 3:15)

Auteur de notre Foi (Heb. 12:2)

Auteur de notre Salut (Heb. 2:10)

Commencement et fin (Apoc. 22:13)

Bienheureux et seul Souverain (1 Tim. 6:15)

Pain de Dieu (Jean 6:33)

Pain de Vie (Jean 6:35; 6:48)

La pierre principale (Actes 4:11; 1 Pierre 2:7)

Pierre angulaire (Eph. 2:20)

Souverain Berger (1 Pierre 5:4)

Christ (1 Jean 2:22)

Créateur (Jean 1:3)

Libérateur (Rom. 11:26)

La vie éternelle (1 Jean 1:2; 5:20)

Le zèle de l'Eternel des Armées (Is. 9:6)

La Porte (Jean 10:9)

Fidèle et Véritable (Apocalypse 19:11)

Fidèle témoin (Apocalypse 1:5; 3:14)

Principe de la création de Dieu (Apocalypse 3:14)

Le premier et le dernier (Apocalypse. 1:17; 2:8; 22:13)

Premier-né des morts (Apocalypse 1:5)

Prince des rois de la terre (Apocalypse 1:5)

Dieu (Jean 1:1; 20:28; Heb. 1:8; Rom. 9:5; 2 Pierre 1:1;1 Jean 5:20; etc.)

Le Bon Pasteur (Jean 10:11,14)

Le grand Berger (Heb. 13:20)

Grand Souverain Sacrificateur (Heb. 4:14)

Chef suprême de l'Eglise (Eph. 1:22; 4:15; 5:23)

Héritier de toutes choses (Heb. 1:2)

Souverain Sacrificateur (Heb. 2:17)

Le Saint, le Véritable (Apocalypse 3:7)

Le Saint et le Juste (Actes 3:14)

Espérance (1 Tim. 1:1)

L'espérance de la gloire (Col. 1:27)

Puissant Sauveur (Luc 1:69)

Je Suis (Jean 8:58)

Image de Dieu (2 Cor. 4:4)

Roi Eternel (1 Tim. 1:17)

Roi d'Israel (Jean 1:49)

Roi des Juifs (Mt. 27:11)

Roi des rois (1 Tim 6:15; Apocalypse 19:16; Apocalypse 15:3)

L'Agneau (Apocalypse 13:8)

Agneau de Dieu (Jean 1:29)

L'agneau sans tache (1 Pierre 1:19)

Dernier Adam (1 Cor. 15:45)

La Vie (Jean 14:6; Col. 3:4)

Lumière du monde (Jean 8:12)

Lion de la tribu de Judah (Apocalypse 5:5)

Le Vivant (Apocalypse 1:18)

La pierre vivante (1 Pierre 2:4)

Seigneur et Sauveur (2 Pierre 2:20)

Seigneur de tous (Actes 10:36)

Seigneur de Gloire (1 Cor. 2:8)

Seigneur des seigneurs (Apocalypse 19:16)

L'Eternel [YHWH] notre Justice (Jer. 23:6)

Homme céleste (1 Cor. 15:48)

Médiateur de la Nouvelle Alliance (Heb. 9:15)

Dieu puissant (Isa. 9:5)

L'Etoile brillante du matin (Apocalypse 22:16)

Le rejeton et la postérité de David (Apocalypse 22:16)

Fils unique de Dieu (Jean 1:18; 1 Jean 4:9)

Grand Dieu et Sauveur (Tite 2:13)

Notre sanctification (1 Cor. 1:30)

Notre Epoux (2 Cor. 11:2)

Notre Protection (2 Thess. 3:3)

Notre Rédemption (1 Cor. 1:30)

Notre Justice (1 Cor. 1:30)

Notre Pâque qui a été immolé (1 Cor. 5:7)

Puissance de Dieu (1 Cor. 1:24)

Précieuse Pierre angulaire (1 Pierre 2:6)

Prince de la Paix (Isa. 9:6)

Prophète (Actes 3:22)

Résurrection et Vie (Jean 11:25)

Germe juste (Jer. 23:5)

Le Juste (Actes 7:52; 1 Jean 2:1)

Le Rocher (1 Cor. 10:4)

Rejeton de David (Apocalypse 5:5; 22:16)

Sauveur (Eph. 5:23; Tite 1:4; 3:6; 2 Pierre 2:20)

Fils de David (Luc 18:39)

Fils de Dieu (Jean 1:49; Heb. 4:14)

Fils de l'homme (Mt. 8:20)

Fils du Très-Haut (Luc. 1:32)

L'Auteur du salut éternel pour ceux qui lui obéissent (Heb. 5:9)

Le seul Médiateur (1 Tim. 2:5)

La pierre rejetée (Actes 4:11)

Le vrai Pain (Jean 6:32)

La vrai Lumière (Jean 1:9)

Le vrai Cep (Jean 15:1)

La Vérité (Jean 1:14; 14:6)

Le Chemin (Jean 14:6)

La Sagesse de Dieu (1 Cor. 1:24)

Conseiller (Isa. 9:6)

Le Verbe (Jean 1:1)

Le Verbe de Dieu (Apocalypse 19:13)

Emprunté au blog http://langedeleternel.centerblog.net





En ce premier jour de l’année nouvelle,

fête du SAINT NOM DE JESUS,

invoquons Celui qui fait toutes choses nouvelles
(Apocalypse 21, 5)

par le Nom de qui, et aucun autre, nous pouvons être sauvés.(Actes, 5, 12)